Description :
"Un héritage du XVIIIe siècle
Né sous l'impulsion d'un botaniste distingué et dendrologue* passionné, l'arboretum Gaston Allard d'Angers est consacré à l'étude et à l'observation d'essences acclimatées du monde entier avant d'être un parc public. La « closerie de la Maulévrie » a été achetée en 1791 par Pierre Courtin, curé de Chérancé (Mayenne). En 1794, ses biens sont mis aux enchères comme biens nationaux.
Vers 1830, Charles-François Gontard de Launay achète cette propriété pour sa fille Zoé qui vient d'épouser Isidore Allard, membre titulaire de la Société industrielle d'Angers. Ils donnent à la demeure son aspect actuel.
Et c'est là que va naître Gaston Allard en 1838. Il fait des études au lycée d'Angers ; puis à l'école d'agriculture de Grand-Jouan, près de Nantes. En 1863, il s'inscrit à la Société entomologique* de France et part en Algérie pour étudier les lépidoptères*. Dans l'intervalle de ses voyages, il commence ses plantations à la Maulévrie ; 1863 est l'année des séquoias, des marronniers et des platanes.
La naissance d'un parc de collections,
Gaston Allard hérite de la propriété à condition de la mettre en valeur. Ainsi débute en 1875 une collection de conifères. L'allée des chênes est plantée en 1878 et, en 1895, l'arboretum s'agrandit avec la partie qualifiée de fruticetum* se trouvant au sud de l'allée des chênes. En 1916, Gaston Allard cherche à transmettre son arboretum, c'est l'Institut Pasteur qui accepte le legs le 20 février 1916."
Description :
Danse contemporaine
Description Longue :
Arriver quelque part, s’installer dans ce lieu, en éprouver ses qualités et ses textures, goûter à son organisation, sa fonction et ses circulations. Soutenues par une curiosité joyeuse, ou réalité tangible et rêve délirant cohabitent, CUMULUS# est un terrain de jeu dans lequel nous nous entrainons à voir et à toucher le monde en le détournant de nos manières de faire habituelles. « Rendez visible » ce qui a cet instant est imperceptible, s’ouvrir à un espace temps extra ordinaire.
Ecriture éphémère, urgente et nécessaire, dans laquelle le temps est le contenant et l’espace est le lieu de la rencontre. Forme nous invitant à expérimenter, choisir et habiter.
Nous interrogeons l’espace (son organisation, sa fonction et son détournement possible...) en prenant le prisme de la relation, axe central de l’écriture de la compagnie. Créer une rencontre éphémère entre un lieu, une question et le spectateur. Trouver un commun, une résonance, un lien, le temps du jeu. Ecriture éphémère, urgente et nécessaire, dans laquelle le temps est le contenant et l’espace est le lieu de la rencontre. Forme nous invitant à expérimenter, choisir, affirmer.